Brepols, 1966. — 637 p.
Le latin reste la langue de l'Église. La langue latine, « par droit et par mérite acquis, doit être appelée et est la langue propre de l'Église :e, disait déjà saint Pie X (Ve hemett.teSr MUJ, Lettre de la Sacrée Congrégation des Études, 1er juillet i:9()8). D'ailleurs tous les souverains pontifes de notre temps, émus
d'une certaine décadence des études latines, n'ont cessé de le répéter : « Qu'il n'y ait aucun prêtre qui ne sache la lire et la parler avec facilité et aisance » (Pie XII, dise. M agis qtfaM, A.A.S. 23 sept. 1951:). La Constitution apostolique (l V etmlm saf,ûntta • de Jean XXIII (A.A.S. 22 février 196z) est spécialement
destinée à rappeler cette vérité. Enfin la Constitution conciliaire de Vatican II sur la Liturgie prkise que « l'usage de la langue latine, sauf droit particulier, sera
conservé dans les rites latins • (art. 36, § 1).